La municipalité craint que Saint-Lô ne devienne un lieu où les passeurs « abandonnent » des familles de migrants. Même si la ville préfecture est très loin d’être envahie et de ressembler à Lampedusa, la collectivité, qui considère ne pas avoir la compétence pour agir, a récemment confirmé que le Centre Communal d’Action Sociale refusait, sauf cas dramatique, de prendre en charge des migrants en situation irrégulière.