Dans le monde les frontières sont ouvertes à l’argent-roi. L’Europe s’inscrit dans la logique du capitalisme financier. L’actuel Parlement Européen est soumis aux diktats libéraux de la Banque Centrale Européenne, aux spéculations des banques privées et au cynisme des multinationales qui délocalisent dans les pays à moindre protection sociale. Au sein même de l’Union européenne, des pays deviennent les paradis fiscaux pour les détenteurs du capital qui écrasent les peuples portugais ou grecs, créent un chômage de masse en Espagne, en France et dans beaucoup d’autres pays. La désespérance sociale grandit et demain la poursuite et l’aggravation de l’austérité peuvent conduire à des formes de dictature.